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66 000 mots pour un je t’aime : mes premiers pas en tant qu'écrivaine

  • 22 mai 2023
  • 3 min de lecture

Dernière mise à jour : 4 juil. 2023


J'ai commencé à écrire ce livre le 22 août 2021. Pourquoi cette date me direz-vous ? Et je répondrai tout simplement : car c'est le jour où j'ai décidé que j'écrirais mon histoire, du moins une partie. Je vivais un moment très difficile, je venais de me séparer et j'avais besoin d'un exécutoire. Il fallait que je trouve un truc qui me permettre de canaliser toutes les émotions qui me traversaient. Alors je me suis mise à écrire. J'ai commencé par une lettre et un mois plus tard, le 22 septembre, mon premier roman 66 000 mots pour un je t'aime voyait le jour.


Lorsque j'ai eu fini de l'écrire, je me souviens encore de la fierté et de la satisfaction que j'ai ressenti. Je me suis dit : « Ça y est Lauryn, tu l'as fait, t'as fini d'écrire ton livre ! » Je n'arrivais pas à y croire car jusqu'à ce moment-là, je ne m'étais jamais réellement posé la question de si oui ou non, j'avais les capacité de rédiger un bouquin. Mais au delà de la fierté, je me rappelle aussi du soulagement que ça m'a provoqué de voir et de sentir que j'étais arrivée au bout parce que cela signifiait deux choses. Non seulement j'avais écris un livre, mais en plus, j'étais prête à avancer. Je n'avais plus peur de ce que la vie pouvait me réserver et j'allais enfin pouvoir me concentrer sur le sujet le plus important de ma vie : moi.


Et ce dont j'avais envie, c'était de publier mon livre, mais au départ, je voulais le faire anonymement parce que je ne voulais pas me taper la honte, disons les choses clairement. C'est d'ailleurs pour cette raison que mon nom d'auteur est Laure Onyl à la base… Puis je ne sais pas ce qui s'est passé, mais en apprenant la façon dont fonctionnait les maisons d'édition (les délais d'examen des manuscrits, la contrainte, le risque de se faire entuber, l'aspect financier…), j'ai changé d'avis. J'ai fini par me dire que nous avions tous déjà été triste et que les ruptures arrivaient tous les jours, donc puisque mon histoire était déjà écrite et si commune au genre humain, il valait mieux encore la partager. Alors j'ai passé une après-midi entière à chercher de quelle manière on pouvait éditer un livre soi-même et lorsque j'ai fini par trouver ce que je cherchais, la machine était lancée.


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